Yes, je sais, Halloween c’est passé.
Mais en qualifiant un masterspin et en jouant avec son graphe, je suis tombé là dessus.

J’ai mis en forme ad-hoc, et voilà la citrouille :
citrouille2

A quoi ça sert donc ?
Et bien, par exemple, à appréhender de visu ce qui se passe quand un masterspin est disproportionné.

Explications sur le graphe :
Chaque noeud (les petits ronds) du graphe contient un morceau du texte.
Pour construire un texte à partir du masterspin, on part du point rouge tout en haut, et on se balade de point en point en suivant les flèches (il faut zoomer pour les deviner).
J’ai ajusté les tailles et couleur des points pour qu’on voit mieux la progression: plus on avance dans le texte, plus les points sont petits, et plus ils vont vers le bleu.

Que voit-on ?
La « queue » de la citrouille, en rouge, est un bloc spinné relativement complexe.
On arrive ensuite sur un bloc « permute ». C’est le corps de la citrouille.
Pour chaque alternative du permute, correspond un filament qui va de haut en bas.

Tout en bas, en bleu, la fin du texte, nouveau bloc de texte spinné, bien moins complexe.

Piste d’amélioration donc pour ce masterspin : diversifier d’avantage le paragraphe de fin, par exemple en créant une nouvelle petite citrouille 😉

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